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Channel: Mi iras limake
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promène son cul

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27/10/2013 matin :
C'est quoi ces deux « basketteurs » ? Ces statues de Giacommeti, ces « promène-son-cul » en uniforme de rigueur, bien noir, de rigueur, et blue-jeans bien anglophone, de rigueur, l'uniforme maoïste du grand capital.

Et en plus ça a du leur coûter très cher : les « jeans » sont du délavé par place. Ils doivent avoir dessus un signe commercial ostentatoire de haut-vol appartenant à quelque ayatollah du capitalisme.


De nouvelles révélations sur le « Tripoligate » les m******** Sarkozy-Kadhafi

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un peu de psycho-sociologie !

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lors d'un spectacle associatif : voilà encore un gars politically-correct « du parti des prêtres » (qui au XIXè siècle aurait été un gars de ce qu'on appelait « le parti des prêtres »), ces intellos-bourgeois qui ne rêvent que de bouddhisme germano-pratin, d'écologie, de novlangue militante et bien-pensante, de végétarisme, et quand ils sont du sexe masculin, bien entendu de « haine de soi » ex-mâle et tous pétris de conditionnement MLF-iste.
des autres à table :
Comme les gens pieux et religieux du « parti des prêtres » au XIXè siècle avec leurs manières onctueuses et leur humilité exacerbée et affichée était en fait méchants, avides de pouvoir et intolérants, pareils les bien-pensants politically-correct actuels, tout pétri de non-violence, zen, anti-fascisme, « tolérance », etc, sont très rigides, hyper-socialisés (ce qui était déjà le constat de Théodore Kaczynski au sujet de leurs pendants étatsuniens), dogmatiques et intolérants. Les mêmes psychologies et motivations parallèles créent les mêmes résultats, les mêmes paradigmes psycho-sociaux.
Donc les gens du « parti des prêtres étaient maigres, idem, ascétiques, idem, arrogants sous des dehors ostensiblement humbles, fermés sous des dehors « ouverts », idem, bourgeois, idem, et bien sûr soucieux de sauver les âmes des mauvaises pensées et la planète, idem.

EN ESPERANTO, PRI LA SAMAJ :
VEGETA RANOJ
Same kiel an la pasinta jarcento (la 19-a) estis la piuloj kion oni nomis « de la partio de l'pastroj », ili estis, kaj nun ili denove estas, burĝoj, malgrasaj, asketaj, plene zorgemaj pri la savo animojn disde malbonaj pensoj kaj savi la mondon, nun oni diras la planedon, same kiel sub montrema humilego ili estis (kiel De Beaufront ?) maltoleremaj kondamnemaj intriguloj, same sub deklaroj malaj, la nunaj politike-korektuloj « neperforte, kontraŭvirece, nunkajĉitieisme, ekologiistoj » estas rigidaj kaj hipersociigitaj mensoj.
Do en la nuntempa versio de tiuj homoj, kiuj kredas sin maldekstruloj, sed plu precize estas, kion en Francio oni nomas « bobo »-aj.

Léon 1er

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Léon 1er http://fr.wikipedia.org/wiki/Léon_Ier_(pape) pape de 440 à 461.
Celui qui a interdit que des esclaves puissent être ordonnés prêtres. (vous dites ? prendre position contre l'esclavage ? Vous n'y pensez pas ! Aucun ecclésiastique chrétien de l'antiquité ni du Moyen-Age n'a jamais émis la moindre critique contre l'esclavage, vous ne le saviez pas ?) car, disait-il un aussi saint ministère serait souillé par une fréquentation aussi vile, et puis "ce serait nuire aux droits de leurs propriétaires" !
Eh oui, vous ne le saviez pas ?
(source : Michael Parenti "Histoire et mystifications" )

http://www.alterinfo.net/LIVRE-HISTOIRE-et-Mystifications_a95059.html

Marjorie Boulton - Vintraj akvoj

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VINTRAJ AKVOJ

Riveretoj malklaraj
Nun bruas,
Neŭroze trofruas,
Nervemulinoj grizharaj
Pro ŝaŭmo - senĉarmaj,
Malvarmaj.

(Marjorie Boulton)

la répugnante immoralité de la société actuelle

cessez de duper les peuples !

les rayons jaunes

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Les dimanches d'été, le soir, vers les six heures,
Quand le peuple empressé déserte ses demeures
Et va s'ébattre aux champs,
Ma persienne fermée, assis à ma fenêtre,
Je regarde d'en haut passer et disparaître
Joyeux bourgeois, marchands,

Ouvriers en habits de fête, au coeur plein d'aise ;
Un livre est entr'ouvert près de moi, sur ma chaise :
Je lis ou fais semblant ;
Et les jaunes rayons que le couchant ramène,
Plus jaunes ce soir-là que pendant la semaine,
Teignent mon rideau blanc.

J'aime à les voir percer vitres et jalousie ;
Chaque oblique sillon trace à ma fantaisie
Un flot d'atomes d'or ;
Puis, m'arrivant dans l'âme à travers la prunelle,
Ils redorent aussi mille pensers en elle,
Mille atomes encor.

Ce sont des jours confus dont reparaît la trame,
Des souvenirs d'enfance, aussi doux à notre âme
Qu'un rêve d'avenir :
C'était à pareille heure (oh ! je me le rappelle)
Qu'après vêpres, enfants, au choeur de la chapelle,
On nous faisait venir.

La lampe brûlait jaune, et jaune aussi les cierges ;
Et la lueur glissant aux fronts voilés des vierges
Jaunissait leur blancheur ;
Et le prêtre vêtu de son étole blanche
Courbait un front jauni, comme un épi qui penche
Sous la faux du faucheur.

Oh ! qui dans une église à genoux sur la pierre,
N'a bien souvent, le soir, déposé sa prière,
Comme un grain pur de sel ?
Qui n'a du crucifix baisé le jaune ivoire ?
Qui n'a de l'Homme-Dieu lu la sublime histoire
Dans un jaune missel ?

Mais où la retrouver, quand elle s'est perdue,
Cette humble foi du coeur, qu'un ange a suspendue
En palme à nos berceaux ;
Qu'une mère a nourrie en nous d'un zèle immense ;
Dont chaque jour un prêtre arrosait la semence
Aux bords des saints ruisseaux ?

Peut-elle refleurir lorsqu'a soufflé l'orage,
Et qu'en nos coeurs l'orgueil debout, a dans sa rage
Mis le pied sur l'autel ?
On est bien faible alors, quand le malheur arrive
Et la mort... faut-il donc que l'idée en survive
Au voeu d'être immortel !

J'ai vu mourir, hélas ! ma bonne vieille tante,
L'an dernier ; sur son lit, sans voix et haletante,
Elle resta trois jours,
Et trépassa. J'étais près d'elle dans l'alcôve ;
J'étais près d'elle encor, quand sur sa tête chauve
Le linceul fit trois tours.

Le cercueil arriva, qu'on mesura de l'aune ;
J'étais là... puis, autour, des cierges brûlaient jaune,
Des prêtres priaient bas;
Mais en vain je voulais dire l'hymne dernière ;
Mon oeil était sans larme et ma voix sans prière,
Car je ne croyais pas.

Elle m'aimait pourtant... ; et ma mère aussi m'aime,
Et ma mère à son tour mourra ; bientôt moi-même
Dans le jaune linceul
Je l'ensevelirai ; je clouerai sous la lame
Ce corps flétri, mais cher, ce reste de mon âme ;
Alors je serai seul ;

Seul, sans mère, sans soeur, sans frère et sans épouse ;
Car qui voudrait m'aimer, et quelle main jalouse
S'unirait à ma main ?...
Mais déjà le soleil recule devant l'ombre,
Et les rayons qu'il lance à mon rideau plus sombre
S'éteignent en chemin...

Non, jamais à mon nom ma jeune fiancée
Ne rougira d'amour, rêvant dans sa pensée
Au jeune époux absent ;
Jamais deux enfants purs, deux anges de promesse
Ne tiendront suspendu sur moi, durant la messe,
Le poêle jaunissant.

Non, jamais, quand la mort m'étendra sur ma couche,
Mon front ne sentira le baiser d'une bouche,
Ni mon oeil obscurci
N'entreverra l'adieu d'une lèvre mi-close !
Jamais sur mon tombeau ne jaunira la rose,
Ni le jaune souci !

Ainsi va ma pensée, et la nuit est venue ;
Je descends, et bientôt dans la foule inconnue
J'ai noyé mon chagrin :
Plus d'un bras me coudoie ; on entre à la guinguette,
On sort du cabaret ; l'invalide en goguette
Chevrotte un gai refrain.

Ce ne sont que chansons, clameurs, rixes d'ivrogne,
Ou qu'amours en plein air, et baisers sans vergogne,
Et publiques faveurs ;
Je rentre : sur ma route on se presse, on se rue ;
Toute la nuit j'entends se traîner dans ma rue
Et hurler les buveurs.

(Charles Sainte-Beuve)


les néocollabos

les USA pays ignoble et détraqué

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militarisation privée

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Militarisation privée et Nouvel Ordre Mondial…

Il y a longtemps que nous l’avions dit ici-même: La privatisation des armées et forces de répression/coercition s’accélère, pourquoi ? Parce que les oligarques criminels savent très bien que le moment de vérité venu, la majorité des forces armées et de police rejoindront les peuples et refuseront de tirer sur leurs citoyens. Pour protéger leur privilèges et leur monde inique et criminel, génocidaire, seuls des mercenaires sans foi ni loi et des robots/drones pourront remplir ces fonctions sans poser de questions. Nous ne pouvons que noter la montée en puissance de ces deux entités totalitaires, ces dernières années, ce n’est absolument pas un hasard et nos sociétés feraient bien de s’en préoccuper avant qu’il ne soit trop tard !
– Résistance 71 –

ce que les médias ne nous disent pas

la peste de la vidéo-surveillance gagne maintenant Boulogne

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palestine, notre honte

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PALESTINE : NOTRE HONTE

J' ai 12 ans et je m appelle Faycal.
Je vis dans mon pays mais il n'a plus de nom !
Ma maison a été détruite par des tirs de missile tuant du même coup mes deux petites sœurs. Il ne reste plus que cette unique pièce dans laquelle nous vivons tous..
Depuis ce jour, ma mère ne parle presque plus..
Dans la rue, à coté, mes copains courent et crient et se cachent derrière les voitures. Nous ne jouons plus à la guerre, nous la feront un jour pour nous libérer..
Nous attendons notre heure !
Quand les soldats entrent dans ma maison, je reste debout, je les fixe du regard. Ils ne me font pas peur, ils n'ont rien dans le cœur ! Quand ils nous menacent de leurs armes, je ne me plie pas, je ne me soumet pas, je mourrais plutôt que de me courber devant eux.
Mon père a le visage le plus digne que je connaisse. Il ne quittera jamais sa terre, il n'attend rien des autres et prie Dieu pour continuer à protéger sa famille.
J'ai 12 ans et je m'appelle Faycal.
Je vois les occidentaux venir nous visiter parfois comme l'on observe des animaux en cage. Ils parlent toujours bien, nous comprennent et repartent sous la protection de nos tortionnaires..
Ils se soucient de la sécurité de nos voleurs de terre. Ils se soucient du bien être de nos oppresseurs ! Mais qui les as placés à leurs postes ?
Vous ?
Qui leur a donné ce pouvoir de nous tuer, de nous torturer ?
Vous ?
Qui leur a permis de nous enfermer derrière un mur ? Qui leur a permis de nous priver d'eau ? De liberté ? De nourriture ?
Vous encore vous ?
Il y a parmi vous, des religieux, des athées, des être humains, des humanistes . Il y a parmi vous, des parents, des enfants, des personnes dignes !
Pensez vous que les gens que vous portez au pouvoir, de plus par la voie d'un vote, se doivent de soutenir une injustice ?
J'ai 12 ans et je m'appelle Faycal.
Je vais mourir les armes à la main et vos bien pensants me traiteront de terroriste. Ils diront que je suis manipulé, que je ne comprend pas.. C'est eux qui ne comprennent pas que ce sont leurs trahisons, leurs soumissions et leurs cupidités qui mènent à la mort de milliers d'enfants à travers le monde.
Je vais mourir en direct devant vos médias déshumanisés. Vous repasserez ma mort en boucle afin de vendre au mieux vos écrans publicitaires !
Vous me direz fanatisé alors que je meurs pour ma cause alors que vous n'êtes même pas capable de défendre vos idées. Vous ne savez que répéter les mensonges de vos hommes politiques qui vous complaisent dans votre lâcheté.
Je vais mourir mais je mourrais digne alors que vous, vous qui me regarderez, vous tomberez, un jour ou l'autre, dans la bassesse, dans la répugnance de vous même, d'avoir tout accepter..
Je n'ai pas 12 ans et j'habite en France.
J'ai honte, aujourd'hui, de voir ce président ramper devant des oppresseurs. J'ai honte de le voir parler au nom de la France.
J'ai honte de le voir cautionner une telle abjection tout en nous faisant croire qu'il cherche une solution.
J'ai honte de voir ce type sourire et rire avec des assassins tout en important le problème en accusant les Français d'antisémitisme, terme d'ailleurs totalement impropre en la matière .
J'ai honte de le voir inventer sous nos yeux un racisme qui n'existe pas dans l'unique but de se plier aux ordres d'une oligarchie internationale.
J'ai honte pour la politique étrangère de la France qui longtemps a été juste et pleine d'espoir pour les peuples martyrs.
J'ai honte pour nous qui devons assister à tout cela sans réagir !
Pour le moment...

Abbas

il est entré vivant dans l'histoire

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"Alain Soral, héros que se seraient partagés, Hugo et Zola, est entré de son vivant dans l’Histoire de France.

Le divin chauve, faisant sienne la devise "un esprit sain dans un corps sain" et dont le destin semble le rapprocher de la petite famille des purs ; des jeanne d’arc, Gandhi ou Mandela.
L’intello-boxeur combattant a su s’imposer ou il pouvait (le net) par son intelligence, son fameux logos, des talents de pédagogue évidents et a su acquérir le respect de beaucoup par son courage, sa sagesse et sa droiture... Ajoutez a ca, des "réalisations" très concrètes comme la Bouffe et l’hygiène (au bon sens), le bon petit vin de pays (sanguisterrae), la survie ou la Kulture !!! en attendant la musique et le théatre ! Avec en point d’orgue, l’Appel a la Réconciliation Nationale et son site ER, premier site politique français !!

Excusez du peu !!

L’histoire montre toujours que contre ce genre de héros, les plus vils, les plus médiocres, les plus haineux se liguent pour une chasse a mort.

Soral c’est un aigle, un renard et un sanglier et rapide comme un click... La meute va encore courir longtemps."


tout ça c'est un peu pareil

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- 1993 : Mon toutou-tout-velu se tortille de plaisir. A défaut de pouvoir faire se tortiller de plaisir une femme aimée, c’est mieux que rien …

Oui ce serait important. C’est une des choses les meilleures, et les plus importantes qui puissent exister dans la vie. Il n’y a guère que peut-être la musique de Jean-Sébastien Bach, les mathématiques, ou l’existence de Dieu qui puisse être de cette valeur.

Ou la fidélité, ou sauver quelqu’un du désespoir.

Et tout ça c’est un peu pareil

moi non plus je ne sais pas m'habituer, alors voici de Jean Tardieu la "Complainte de l'homme exigeant"

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Complainte de l’homme exigeant

Au milieu de la nuit

Il demandait le soleil

Il voulait le soleil

Il réclamait le soleil

Au milieu en plein milieu

De la nuit (voyez-vous ça ? )

Le soleil ! (il criait )

Le soleil ! (il exigeait)

Le soleil ! Le soleil !

On lui disait : pour quoi faire ?

Il répondait : la lumière

Je veux faire la lumière

Sur cette sale affaire.

On lui disait : mais quelle affaire ?

Il répondait : la sale affaire

La sale affaire de ma vie .

Je veux toute la lumière

Sur cette sale affaire.

On lui disait : votre vie ?

Malheureux vous n’en avez pas

Vous n’en avez jamais eu

Vous avez celle des autres !

De parler de cette chose

Comme si elle était à vous

Quelle, quelle vanité !

Je vous déconseille d’en parler !

Vous vous feriez arrêter !

Il disait : vous détournez

Notre conversation

J’ai demandé le soleil

Vous me parlez de police.

On lui répondait : c’est vous

C’est vous qui l’avez voulu

Vous réclamez le soleil

En plein milieu de la nuit,

Demain vous exigerez

Les ténèbres à midi !

« Pourquoi pas ? » répondait-il

Je ne comprends rien aux heures

Je ne sais pas calculer

Je ne sais pas m’habituer

Tout ce que je sais à présent

C’est qu’il fait une nuit d’encre

Et que dans cette nuit d’encre

Je de-man-de-le-so-leil !

Or malgré tous nos efforts

Nous n’avons pu lui donner

La plus petite parcelle

De la lumière solaire

Au milieu de la nuit noire

Qui le couvrait tout entier.

Alors pour ne pas céder

Alors les yeux grands ouverts

Sur une toute autre lumière

Il est mort.

autrefois les illettrés c'étaient ceux qui n'allaient pas à l'école, maintenant ce sont ceux qui y vont

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dommage que la journaliste de "proruchat point TV" en profite pour glisser de la propagande de droite par des formules idéologiques ! En tous cas le "conformisme timoré" est et a bien été de tous temps la source de bien des maux.

triste bilan de l'histoire de la fin du XX-ème siècle

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l'époque où les jeunes rêvaient, fin d'une époque avant la plongée dans le libéral-fascisme. Comme disait Giuseppe Castelli "Kiam ni aĝis cent jarojn malplie"

6 mois pour informer les citoyens, 6 mois pour faire triompher la vérité

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