Quantcast
Channel: Mi iras limake
Viewing all 2449 articles
Browse latest View live

CHATEL ET PECRESSE DETRUISENT LE PREMIER SERVICE PUBLIC DE FRANCE : LA LANGUE FRANCAISE !

$
0
0

-en violation de la loi de 1994 qui stipule que "le français est la langue de l'enseignement", un nombre croissant d'universités et de centres de recherche enseignent en anglais et contraignent les doctorants à présenter leur thèse en globish. A la poubelle l'acte civique majeur posé par Descartes quand il publia le Discours de la méthode en français pour être compris de tout(e) Français(e) sachant lire ! Et le gouvernement Fillon, qui avait déjà pris appui sur ce personnage pour imposer la loi du même nom (socle commun, etc.), applaudit en silence quand le sinistre Richard Descoings, directeur de Sciences po et médaille d'or de l'esprit néo-colonial sur notre sol, impose l'anglais comme LANGUE UNIQUE de l'enseignement dans les nouvelles antennes de son École financée par les contribuables (comme à Reims).

-voici maintenant que Chatel décide, sans aucun débat démocratique, de faire de l'anglais la seconde,-puis la première, n'en doutons pas-, langue maternelle de la France en imposant l'anglais dès la maternelle ! Mais imposer le bain linguistique anglais aux tout-petits (dès 3 ans), à un âge où le français et ses structures ne sont pas consolidées, c'est infliger aux enfants un énorme brouillage linguistique qui sapera en profondeur notre langue, la relèguera rapidement au rang de "patois domestique", sans pour autant poser les bases d'une acquisition rationnelle des langues étrangères : chacun sait qu'en réalité, il faut d'abord maîtriser sa langue maternelle nationale pour ensuite pouvoir apprendre d'autres idiomes de manière tant soit peu riche et méthodique. Bref ce type de décision despotique vise à promouvoir, non pas le plurilinguisme, mais le monolinguisme "franglish", puis l'arasement en deux générations de la langue de Diderot et de Victor Hugo !

Ainsi Chatel veut-il passer officiellement, en violation de la Constitution, et sans le moindre débat national de politique linguistique, au bilinguisme franco-anglais, puis au monolinguisme franglish puis à la relégation définitive du français que tant d'écrivains de par le monde, sans compter le peuple québecois et plusieurs peuples africains, s'efforcent de faire vivre avec talent face au totalitarisme de la langue et de la pensée uniques porté par la mondialisation états-unienne... Sans doute notre langue, porteuse d'une longue tradition populaire frondeuse, est-elle gênante pour la mise en place de ce nouvel Empire planétaire... (pour les nouveaux maîtres, les mots "management", "marketing", "trader", résonnent sans doute plus agréablement que les mots français malsonnants "désobéisseurs" et "dégage !", que les Tunisiens et les Egyptiens jettent à la face de leurs tyrans respectifs ! ).

C'est pourquoi les enseignants qui résistent à la casse de l'Education nationale républicaine, doivent refuser de collaborer à cette POLITIQUE LINGUISTIQUE TOTALITAIRE qui, dans tous les pays de l'UE, vise à casser les langues nationales (allemand, italien, espagnol, et même dans un certain sens, la langue de Shakespeare! ) au profit du tout-globish. Refusons de conditionner les enfants de trois ans sur l'ordre de "Business-Europe" (le syndicat des multinationales européennes alors présidé par le Baron Seillière), qui a décidé en 2003 de faire de l' "anglais la langue de l'entreprise et des affaires", c'est-à-dire en clair, d'éliminer toute autre langue que l'anglais de la sphère du travail et des échanges. Les enseignants républicains sauront, sur ce terrain-là aussi, RÉSISTER et non "accompagner" docilement la déferlante : il y va de la diversité culturelle mondiale, -non moins précieuse que la bio-diversité-, du refus de la pensée unique, de la défense des fondations républicaines de la Nation (sans sa langue, la France ressemblerait au fameux "couteau sans lame dont on a jeté le manche"), de la lutte contre les discriminations socio-culturelles: n'est-il pas scandaleux déjà que certaines entreprises du CAC 40 imposent l'anglais comme langue de travail unique à leurs employés en France même et que d'autres recrutent des cadres "english mother tongue only" (de langue maternelle anglaise), ce qui constitue une préférence nationale à l'envers?

Bien entendu, les auteurs de ce tract n'ont rien contre l'anglais en tant que tel. Il ne s'agit pas non plus de "purisme", quand toutes les enseignes de supermarchés, quand les pubs, etc. REMPLACENT SYSTÉMATIQUEMENT des mots français existants par des mots de globish (y compris la SNCF, la Poste, "France" Telecom, etc.). Une telle POLITIQUE de SUBSTITUTION ET d'ARRACHAGE LINGUISTIQUE dans tous les domaines (commerce, technologie, science, chanson, cinéma...) n'a rien à voir avec un "enrichissement" quelconque du français et des autres langues (la chanson en allemand, en italien, etc. tend à disparaître ! ). Quand tous les peuples baragouineront le globish plus leur propre langue abâtardie, alors que l'Angleterre et les USA autorisent leurs bacheliers à n'apprendre AUCUNE langue étrangère à aucun moment, la diversité culturelle mondiale, socle de la culture, disparaîtra et sous couvert d'universalité de l'anglais, UNE langue, UNE civilisation, UN pays écraseront tous les autres... avec la complicité néo-coloniale de toutes les "élites" locales !

Précisons enfin que les auteurs de cet appel n'ont rien, contre l'enseignement des langues régionales de France, ni contre l'enseignement dans nos écoles des langues de l'immigration, bien au contraire. En défendant le bien commun de tous les francophones, en sauvant ce premier service public GRATUIT de France qu'est la langue française, nous défendons l'égalité entre tous les peuple, entre tous les individus, et nous portons haut l'idéal qu'expriment en condensé trois des plus beaux mots de notre langue: LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ !

"Dégageons" ensemble les projets scélérats de L. Chatel et de V. Pécresse, violateurs de la loi et de la Constitution !
Exigeons que les médias et les hommes politiques de tous bords cessent d'étouffer le débat sur la politique linguistique de la nation !
NE NOUS LAISSONS PAS ARRACHER LA LANGUE, POUR ELLE, PAR ELLE, PRENONS LA PAROLE !

http://www.courriel-languefrancaise.org/


à bas l'amerloquisation !

$
0
0

à bas l'anglicisation totale systématique et obsessionnelle d'Over-blog !
y-en a marre de l'amerloquisation de plus en plus envahissante et obsédante

En fait tout ça fait partie d'une entreprise générale et concertée....

Nicolas Maduro dénonce la politique meurtrière des Etats-Unis en Syrie

Pierre Jovanovic

$
0
0

si c'est pas de la lutte de classes ça !

vibrant hommage d'une chanteuse chrétienne

le grand capital bancaire a pris l’ensemble des institutions européennes en otage et dépèce méthodiquement les Etats-Nations européens au profit d’intérêts privés mondialistes

$
0
0

Le mode de pensée qui se cache derrière la chasse au tabac - L'interdit du tabac n'est pas la dernière des prohibitions que l’on nous prépare.

$
0
0

L’interdit du tabac n’est pas la dernière des prohibitions que l’on nous prépare.

Il faut se réjouir que la décision soit enfin prise d’interdire de fumer dans tous les lieux publics. Pourront ainsi être punis des individus assez inconscients ou assez cyniques pour s’autoriser à écouter du jazz dans un bar en grillant quelques cigarettes, ou à terminer un bon repas entre amis en accompagnant leur café ou leur cognac d’un cigare.

Cette victoire des forces du Bien sur les forces du Mal sera cependant incomplète, et il faut poursuivre dans cette voie. Ainsi est-il urgent de faire passer une loi interdisant de fumer même dans les rues et dans les parcs des villes, tant il devrait être évident que la fumée du tabac est plus dangereuse que tous les gaz polluants produits par la civilisation de l’automobile. Mais il faudra aussi étendre l’interdit jusqu’aux plus lointaines campagnes, car il y a encore aujourd’hui beaucoup de gens bornés au point de ne pas comprendre que la fumée d’une cigarette représente une menace pour le bien-être de l’humanité et l’équilibre écologique de la planète.

Cependant, ces mesures seront elles aussi insuffisantes : il restera encore des fumeuses et des fumeurs. Que faire de cette race en voie de disparition ? On pourrait proposer de les regrouper dans des espaces séparés où ils seraient observés, surveillés, et peut-être même punis ou rééduqués (cette dernière option serait à débattre en fonction du niveau de tolérance de nos concitoyens). Malheureusement, cette formule risque d’évoquer le camp de concentration auquel reste associé le souvenir des horreurs du nazisme. On peut dès lors craindre qu’elle ne soit pas assez populaire pour pouvoir être adoptée, du moins dans l’immédiat (il serait toutefois possible d’organiser un sondage d’opinion sur ce point afin d’éclairer les décideurs).

Une autre mesure aurait peut-être davantage de chances de s’imposer. Il faudrait que la majorité qui sortira des urnes au printemps prochain, quelle qu’elle soit (c’est une cause nationale), ait le courage de proposer un projet de loi pour étendre l’interdiction de fumer jusque dans ces espaces privés que sont la voiture, l’appartement, les maisons particulières. Cependant, une fois la loi votée, il faudrait aussi que la police puisse vérifier qu’elle est bien respectée en faisant à tout moment irruption, de nuit comme de jour, dans les foyers. Il ne manquerait pas alors de défenseurs attardés des droits de l’homme pour dénoncer dans ces pratiques autant de violations de l’intimité et de la liberté des personnes, quand bien même les forces de l’ordre n’auraient fait que leur devoir en appliquant la loi.

Comme la guerre au terrorisme, la lutte contre le tabac est donc un combat très difficile à mener, et il ne pourra être gagné que si l’on est impitoyable envers l’ennemi, en l’occurrence ici le fumeur : tolérance zéro. On ne peut dès lors qu’être reconnaissant envers tous ceux, de plus en plus nombreux, qui se mobilisent sans état d’âme pour faire triompher cette juste cause. Ils veulent notre bien, et militent avec beaucoup de dévouement pour que notre existence soit entièrement sécurisée dans une société dont ils auraient enfin éradiqué tous les risques. Que la sécurité l’emporte toujours sur la liberté, et ce serait le meilleur des mondes.
En ce qui me concerne et s’il me fallait participer avec mes faibles moyens à cette noble entreprise, je suggérerais à ces amis du Bien une mesure simple et dont la mise en oeuvre ne serait pas très coûteuse, mais dont la portée symbolique pourrait être considérable : que soient ouverts des cimetières pour fumeurs, le plus loin possible des espaces habités, et des cimetières qui accueillent les morts normaux. Comme autrefois pour les hérétiques et autres mécréants auxquels était dénié le droit de reposer en terre chrétienne, la stigmatisation des fumeurs vaudrait ainsi pour l’éternité.

Ils n’auraient que ce qu’ils méritent, et l’on pourrait alors entreprendre un véritable travail de mémoire pour reconsidérer l’admiration que l’on continue à porter à des délinquants notoires qui ne se sont pas repentis comme Sigmund Freud, Winston Churchill, Jean-Paul Sartre, André Malraux, Humphrey Bogart, Georges Brassens, Hannah Arendt et beaucoup d’autres. La preuve : on les voit toujours sur les photographies datant d’une époque barbare avec un cigare, une cigarette ou la pipe à la bouche. Il arrive même parfois qu’ils sourient, comme s’ils nous narguaient ou se moquaient de notre pusillanimité.
Certains esprits trop formalistes objecteront sans doute que c’était il y a longtemps déjà, que ces grands personnages ne savaient pas ce qu’ils faisaient, qu’il y a prescription, etc. Mais, si le tabac est bien devenu une figure du Mal absolu dont l’usage est assimilé au fait de commettre un crime ( «Fumer tue», comme il est écrit à des dizaines de millions d’exemplaires sur les paquets de cigarettes), il est nécessaire de revenir aussi sur la tolérance coupable dont il a bénéficié dans le passé. Le fumeur d’hier comme le fumeur d’aujourd’hui transgresse le seul sacré que nous soyons désormais capables de reconnaître, le culte du corps, de sa santé, de sa longévité, sur lequel s’est finalement rabattu le désir d’éternité. Il faut être d’autant plus impitoyable à l’égard de ceux et de celles qui apparemment ne communient pas dans la célébration de ces valeurs que chacun sent bien, au fond, que cette royauté du corps est éphémère, et que toutes les précautions du monde n’assureront pas l’immortalité. Mais, à défaut de pouvoir gagner contre la mort, on peut au moins stigmatiser ceux et celles qui vendent la mèche en donnant à voir à travers leur comportement irresponsable que c’est bien vers cette direction commune que nous allons tous.

Si donc on déclenche la guerre au tabac, il faut faire preuve d’assez de cohérence pour aller jusqu’au bout de sa logique et y voir un des derniers épisodes à ce jour de la bataille séculaire que le Bien livre au Mal et qui l’apparente à l’esprit de croisade. On aura compris que c’est ce que j’ai essayé de faire ici, certes en forçant un peu le trait. Je ne me vante pas de mon état de fumeur non repenti, je conseille à tout un chacun de s’abstenir de fumer, et je m’associerais même volontiers à des campagnes honnêtes visant à dissuader la perpétuation de pratiques effectivement dangereuses pour la santé. Mais en laissant à chacun la liberté de choisir. J’ai par contre plus que de la réticence à l’égard de ce mélange d’autoritarisme bien-pensant, de suffisance pseudo-savante et de bonne conscience sécuritaire qui caractérise souvent les ayatollahs de la santé.

Ce n’est d’ailleurs pas seulement de tabac et de santé qu’il s’agit : gardons-nous de ceux qui choisissent notre bien à notre place et pour nous, et qui l’imposent par tous les moyens en ne doutant jamais d’avoir raison. L’interdit du tabac n’est pas la dernière des prohibitions que l’on nous prépare.

Robert Castel publié dans la rubrique Rebonds de Libération.

 

Extrait du site du Dr Gernez, chapitre consacré à la maladie d'Alzheimer :

* Facteurs de protection

 

Contre toute attente et contre l’orientation actuelle, les principaux facteurs de protection sont le tabagisme et l’alcoolisme alimentaire.

 

* Le tabac réduit la morbidité alzheimérienne de 20 %.

Sa nocivité reconnue dans le domaine pulmonaire et cardio-vasculaire légitime la campagne d’éradication actuelle, mais son effet protecteur contre l’Alzheimer est statistiquement établi et incontestable. Certes, il est paradoxal et déconcertant que le même facteur puisse avoir un effet inverse dans des maladies de caractère dégénératif.

La raison en est que leur métabolisme cellulaire est aussi contraire. Alors que les cellules dysplasiques ou cancéreuses s’accommodent ou même bénéficient d’une hypoxie en raison de leur métabolisme fermentatif, la cellule nerveuse ne résiste pas au manque d’oxygène.

La population cérébrale représente 2 % du poids du corps et consomme à elle seule 20 % de l’oxygène véhiculé par le sang. La vie de ces neurones est subordonnée à cet oxygène et trois minutes d’anoxie suffisent à leur créer des lésions irréversibles.

Or, la division des neuroblastes exige dix fois plus.

L’intoxication oxycarbonnée tabagique, légère mais rémanente, réduit l’oxygénation sanguine et, ce faisant, freine la cinétique divisionnelle des neuroblastes dont elle retarde ainsi le tarissement.

(Pour la même raison, le fumeur bénéficie d’un taux de protection de 50 % contre la maladie de Parkinson qui s’instaure quand les neurones nigriques sont réduits à 20 – 30 % de la normalité).

 

Ce facteur ne peut être négligé en raison de sa large assise sociale.

 

* L’alcoolisme alimentaire offre un taux de protection de l’ordre de 50 % variant de 41 à 72 % selon les statistiques.

On retrouve l’effet de l’oxygénation cellulaire : les graisses absorbées au cours d’un repas se retrouvent dans le sang (lipémie). Elles forment au niveau de la paroi interne des artères un film imperméable aux échanges gazeux qui réduit le transfert d’oxygène véhiculé par l’hémoglobine aux cellules irriguées par le sang. Persistant pendant des heures (8 à 10), l’asphyxie qu’induit cette imperméabilité altère les cellules les plus vulnérables à l’anoxie, les neurones, dont le remplacement mobilise la réserve blastique et en accélère le tarissement.

Rétablissant la perméabilité de la paroi vasculaire aux échanges gazeux en dissociant le film lipidique qui la tapisse au cours et après les repas, l’alcoolisme alimentaire supprime l’entrave à l’oxygénation cellulaire et réduit la cytolyse ainsi que le recours à la réserve blastique.

 

[ Note : Par « alcoolisme alimentaire » le docteur André Gernez entend l’habitude de boire modérément du vin pendant les repas. Il ne s’agit pas de la prise d’alcool fort, en particulier en dehors des repas, et encore moins de l’alcoolisme au sens ordinaire du mot. ]

 

 

la lutte contre le tabac vire au terrorisme

$
0
0

Le cigare est un acte militant” selon Jean-Christophe Rufin tout sourire. Avant d’expliquer, que selon lui en ce moment “la lutte contre le tabac vire au terrorisme”, et que “jamais à son avis les Etats totalitaires ne sont allés aussi loin dans le contrôle des comportements individuels”.


d'après les sondages il n'y a plus qu 15% des citoyens américains qui aient confiance dans leurs "représentants" - et en Europe c'est pareil

Lamartine peut-être le plus profond de nos poètes

$
0
0

pas assez lu, peut-être décourage-t-il par ses longueurs et sa rhétorique, mais si on prend la peine de lire quelques phrases choisies, et de les méditer, on s'apperçoit soudain à quel point elles sont vraies, et profondes.

par exemple


Un jour, les yeux lassés de veilles et de larmes,
Comme un lutteur vaincu prêt à jeter ses armes,
Je disais à l'aurore : « En vain tu vas briller ;
La nature trahit nos yeux par ses merveilles,
Et le ciel coloré de ses teintes vermeilles
Ne sourit que pour nous railler.

« Rien n'est vrai, rien n'est faux; tout est songe et mensonge,
Illusion du cœur qu'un vain espoir prolonge.
Nos seules vérités, hommes, sont nos douleurs.
Cet éclair dans nos yeux que nous nommons la vie
Brille à peine un moment à notre âme éblouie,
Qu'il s'éteint et s'allume ailleurs.

« Plus nous ouvrons les yeux, plus la nuit est profonde ;
Dieu n'est qu'un mot rêvé pour expliquer le monde,
Un plus obscur abîme où l'esprit s'est lancé ;
Et tout flotte et tout tombe, ainsi que la poussière
Que fait en tourbillons dans l'aride carrière
Lever le pied d'un insensé. »


Je disais ; et mes yeux voyaient avec envie
Tout ce qui n'a reçu qu'une insensible vie
Et dont nul rêve au moins n'agite le sommeil ;
Au sillon, au rocher j'attachais ma paupière,
Et ce regard disait : « A la brute, à la pierre,
Au moins que ne suis-je pareil ? »


n'aurait-on pas envie de les apprendre et se les réciter chaque matin ?

écrit en 95 - 18 ans !

$
0
0

- 30/12/1995 Déjà, je n'avais pas dix ans je passais des heures à répèter : « Mon Dieu je vous en supplie faites que je ne meure jamais »



- C'est pourtant si bon de vivre et d'être heureux ! …



- Les phantasmes mythologiques sont faux, qu'on pratiquait tant.
Tout ce qu'on a créé pour les remplacer, et jusqu'aux sensations des poètes et des artistes sont faux (même Spinoza)
Qu'est-ce qui est vrai ?



- carte photo intitulée "petit prince "vendue à l'abbaye de Clairvaux. Souvenirs de quand j'entendais du fond de mon lit à 6 heures du matin dans le noir sonner l'angélus de l'église St-Amand (quartier de la gare de Bailleul) à 1-2 kilomètres de distance. Et les trains, selon le vent.



Des milliers de gens pendant des milliers d'heures ont écouté des trains rouler pendant que s'écoulaient leurs vies dans des tas de pays et de villes et de lits. Que sont-ils devenus , et leurs pensées ? et les gens qui étaient dans les trains ? et les marchandises transportées ? et les secondes ? les secondes de vie ?



« Les feuilles
Qu'on foule
Un train
Qui roule
La vie
S'écoule »

(Apollinaire)



« Petit Prince », petit prince de l'abbaye de Clairvaux , viens me sauver !



- Mais ma vie c'est exceptionnel, c'est moi qui existe ! Ça ne peut pas être le sort commun !
C'est vraiment trop étrange
C'est moi qui existe, et on n'en sort pas.
Mais comment se fait-il que toute une vie passée soit disparue. Mon Dieu ayez pitié de nous !


C'était le présent pourtant quand papa était là , avec ses grosses cuisses , et ses cheveux argentés , et ses yeux gris-bleu .


Toutes les histoires sur les messages de l'au-delà ce sont des illusions (pareidolie) comme les taches sur les murs où on croit voir des visages , etc, etc. Mais pourquoi ? Et pourquoi moi ?

Moi ? Et maman ?



- Le mois d'octobre est la plus belle saison, la plus enchanteresse et la plus sensuelle .



- nov 1995 : On est déjà mi-novembre et c'est encore l'automne du mois d'octobre, avec des feuilles de bouleau jaune d'or, etc. Jamais on ne croirait qu'on est en novembre, et même 15 jours après la Toussaint. Là aussi est-ce le réchauffement de la planète tant annoncé ?



- J'aime les basses de clavecin dans les orchestres baroques.
Et puis c'est touchant, l'application avec laquelle le/la claveciniste joue, alors qu'on ne l'entend presque pas : « la consigne » comme le personnage de Saint-Exupéry, c'est toute une leçon de philosophie silencieuse (si j'ose dire), de morale, d'humanisme, comment dire ?
C'est comme le pain dans un repas , non, plutôt, c'est comme les lointains dans un tableau : on ne les voit presque pas , ça ne prend pas beaucoup de place , mais c'est très important ( surtout dans certains tableaux , ceux de Claude Lorrain par exemple ) et très agréable , et tout subtil .



- Janvier 1996 dans le poème de Susan Polis Schutz qui m'avait fait penser à Claude , il est dit « who loves and believes in other than himself » Qui croit en autre chose qu'en lui-même; qui aime et s'intéresse à autre-chose qu'à soi-même ; c'est comment il faut être . (ne fusse que pour être heureux ) Ce sont des êtres comme ça qui manquent.
(et qui me manquent )

la vérité sort de la bouche des poètes

$
0
0

Jules Laforgue

COMPLAINTE DE L'OUBLI DES MORTS

Mesdames et Messieurs,
Vous dont la mère est morte,
C'est le bon fossoyeux
Qui gratte à votre porte.

Les morts
C'est sous terre ;
Ça n'en sort
Guère.

Vous fumez dans vos bocks,
Vous soldez quelque idylle,
Là-bas chante le coq,
Pauvres morts hors des villes !

Grand-papa se penchait,
Là, le doigt sur la tempe,
Sœur faisait du crochet,
Mère montait la lampe.

Les morts
C'est discret,
Ça dort
Trop au frais.

Vous avez bien dîné,
Comment va cette affaire ?
Ah ! les petits mort-nés
Ne se dorlotent guère !

Notez, d'un trait égal,
Au livre de la caisse,
Entre deux frais de bal :
Entretien tombe et messe.

C'est gai,
Cette vie ;
Hein, ma mie,
Ô gué ?

Mesdames et Messieurs,
Vous dont la sœur est morte,
Ouvrez au fossoyeux
Qui claque à votre porte ;

Si vous n'avez pitié,
Il viendra (sans rancune)
Vous tirer par les pieds,
Une nuit de grand'lune !

Importun
Vent qui rage !
Les défunts ?
Ça voyage....

voilà comment la flicaille traite les citoyens et manifestants pacifiques

éliminez !

$
0
0

20/12/07 Que reste-t-il de Jacqueline qui vivait dans ce blouson ? RIEN, encore moins que de Poupounette. Elle n’est même pas pourrie, il ne reste même pas d’os. Une poignée de cendres. On l’a réduit en une poignée de cendres. Alles in Ordnung. Propre en ordre ! Ça c’est hygiénique, et sécuritaire, ça, éliminée, comme dans les psycho-machin-choseries. Buvez ! éliminez ! Et on l’a mise dans une urne, et, le plus important : la facture ! la facture du crématorium, ça c’est sacré ! ça c’est politiquement correct, comme la psychanalyse. Comme à Auschwitz. Non, à Auschwitz ils n’avaient pas encore pensé à faire payer la facture à la famille comme font les chinois pour les condamnés à mort, mais les chinois ont fait des progrès dans l’éthique capitaliste !

ils sont en train de piller le monde et de mettre l'humanité sous le joug d'une "dette" artificieuse, tel est leur but


nous avons à faire à du grand banditisme !

Mangez du beurre ! c’est sain ! on vous a entubé là-dessus aussi !!

$
0
0


Fin de la guerra a las grasas saturadas
ana mellado / londres
Día 24/10/2013 - 13.46h
Un prestigioso cardiólogo británico desmitifica los riesgos asociados al consumo de mantequilla o carnes rojas

Durante años, las grasas saturadas de productos como la mantequilla, la leche o la carne roja han sido estigmatizadas como responsables de las principales enfermedades cardiovasculares. Su consumo siempre se ha visto con malos ojos por parte de doctores y nutricionistas que han detallado hasta la saciedad los peligros que entraña tomarse un buen chuletón. Sin embargo, la pésima reputación de las grasas podría desaparecer ya que según un estudio publicado por la prestigiosa revista británica «British Medical Journal», su consumo no resulta perjudicial para la salud, como hasta ahora se ha asumido.
El cardiólogo británico, Aseem Malhotra, uno de los más prestigiosos en Reino Unido, afirma que la ingesta de productos bajos en grasa incrementa paradójicamente el riesgo de sufrir enfermedades cardiovasculares.
La actual obsesión de la población por los productos desnatados o light, «aterrada» por ese miedo a la grasa, acaba siendo más perjudicial, ya que estos alimentos disfrazados de saludables presentan un alto contenido en azúcares añadidos, según expone el doctor del hospital de Cardiff. Ante la guerra declarada, la industria alimentaria ha tendido a sustituir las grasas eliminadas en los alimentos por edulcorantes y azúcares para compensar la falta de sabor.
La evidencia científica actual demuestra que el azúcar es un posible factor de riesgo independiente para desarrollar síndrome metabólico, según el cardiólogo. De hecho, se sabe que hoy en día, el 75% de las personas que llegan al hospital con un infarto tienen «concentraciones de colesterol totalmente normales».
Por supuesto, conviene diferenciar entre las denominadas «grasas trans» (las que se hallan en la comida rápida, pastelería y margarina), que son perjudiciales, y las grasas de la leche, el queso y la carne, que no representan ningún riesgo para la salud, según se desprende de esta investigación. Los productos lácteos además de contener vitamina D, cuya falta se ha relacionado con un aumento de las enfermedades del corazón, cuentan con calcio y fósforo, que pueden tener efectos reductores de la presión arterial. Tomar carne procesada se ha vinculado a menudo con mayores tasas de enfermedades del corazón y diabetes, pero en ningún caso, la carne roja.
El empeño en subsanar los niveles de colesterol viene a confirmar eso de que el remedio es peor que la enfermedad. Los doctores han prescrito de forma excesiva medicamentos con «estatinas» para reducir la cantidad de grasas en la sangre, sin tener en cuenta que los efectos secundarios de este «antídoto» son mayores que los beneficios, apunta el doctor.
Como ya han advertido otros expertos, Malhotra aboga por una alimentación sana en lugar de recurrir a los preparados químicos. «Adoptar una dieta mediterránea tras un ataque al corazón es casi tres veces más efectivo que tomar una estatina para reducir la mortalidad», concluye.

le sol

$
0
0

vivement qu'on aie François Asselineau président de la république, Phlippe Murer ministre des finances, et Claude Bourguignon ministre de l'agriculture !! Sinon on est foutus ! FOU-TUS !

contrairement à ce que les médias et même veulent vous faire croire le député belge courageux et humaniste Laurent LOUIS n'est pas raciste

$
0
0

ah ! son seul tort est d'avoir le courage d'ouvrir la bouche et de dire la vérité. Pour le peuple. Pour LES peuples !

le trou de la sécu n'existe pas

$
0
0

et c'est au nom de ce MENSONGE qu'on nous détruit toutes les réalisations du Conseil National de la Résistance !

Viewing all 2449 articles
Browse latest View live