(à moins que la France ne quitte au plus vite l'Union "Européenne")
LE PORTUGAL
A l'instar des autres nations victimes de l'euro-diactature, le Portugal est un pays en proie à une destruction massive.
Un fait accentué par le biais d'une population entretenue davantage dans l'ignorance, la manipulation et l'endoctrinement, que les autres. Ceci est essentiallement dû au fait que le Portugal n'a connu que 12 petites années de frêle démocratie, entre la dictature salazariste et la dictature eurocrate. Trop peu de temps pour qu'une population devienne adulte et puiisse mentalement s'armer contre l'endoctrinement mental d'un degré inoui, perpétré par tous (sans exception) les médias complices.
Le niveau d'endoctrinement mental par le biais des médias est ahurissant, dépassant la caricature. On pourrait penser à un gag d'une vulgarité execrable. Mais il n'en est rien. C'est ce que subissent les cerveaux d'une population maintenue dans l'ombre et manipulée à l'extrême.
Sous l'emprise eurocrate, le Portugal est en proie à une sorte de délire fou, comme une nation en flammes dont on chercherait é cacher la lueur de l'incendie.
Et pourtant...
- 30 mille enfants sont recencés comme étant sous-alimentés. Les hopitaux lisboètes crient, implorent, pour que ce massacre cesse, remplis quotidiennement d'enfants sous-aliméntés qui leur parviennent en détresse
- Des écoles de la région d'Alentejo sont obligées de se transformer en cantines de secours humanitaire le soir. Permettant ainsi à des enfants d'aller quémander une assiette de soupe, après avoir fait des queues interminable.
- Des centaines (CENTAINES) de villages entiers sont transformés en villages fantômes. Rien ne résiste. Les écoles ont été fermées pour "non rentabilité". Les services publics ont été laminés. Les centres de santé ont été fermés. Laissant la partie de la populatoion la plus fragile et pauvre sans AUCUN recours pour pouvoir se soigner.
( A savoir : la santé au Portugal a toujours été organisée par le biais de centres de santé de proximité, comprenant l'ensemble des médecins necessaires. Ces centres étaient le complément idéal des hopitaux. Cependant, lorsqu'il y a quelques années, le gouvernement fantoche a commencé à en fermer une partie, il était en contrepartie allouée aux populations locales une subvention leur permettant de se rendre en transport à l'hopital de la ville la plus proche en cas de maladie.
Désormais, une partie énorme de ces centres ont été fermés. Mais l'allocation de transport a até coupée. Alors qu'en parallèle les transports publics ont aussi été supprimés. Ce qui rend impossible pour beaucoup d'avoir recours aux moindres soins. Par ailleurs on a imposé un paiement pour le recours au service des urgences des hopitaux qui se montent en moyenne à 20 Euros, suivant les hopitaux. 20 E, pour une grande partie des portugais, c'est plus de 10% du salaire net perçu). Et sans le moindre remboursement en conrtrepartie.
- Beaucoup d'hopitaux affirment ne plus avoir les médicaments nécessaires pour soigner convenablement les malades. L'ordre des médecins dénonce cette carence, mais en vain.
- 75% (SOIXANTE QUINZE) des pharmacies manquent de médicaments et l'affirment clairement sur les médias. D'ailleurs les pharmacies s'écroulent les unes après les autres, comme les restaurants (22% des retaurants portugais ont diparu en 5 ans). Et de 8 à 10% sont en voie de fermer leurs portes
Les hopitaux les plus proches se trouvent souvent à des dizaines de kilomètres. Une distance qui est hors d'atteinte d'une grande partie des protagonistes, surtout que les services publics de transport ont été fermés.
- L'exil massif pour fuir la misère créée par l'euro-dicrature dépasse désormais celui des années salazaristes. Les fascismes se ressemblent. Seule la forme diffère.
- Il n'y a plus aucun jeune au Portugal qui conçoit l'idée de rester au Portugal. Le mental allié à la réalité les pousse à réfuter leur propre nation, et à considérer qu'elle ne répond pas à leurs attentes. Ce qui est "cytoyennement" et humainement dramatique. Ca contre toute logique sociétale.
- Ceux qui restent, doivent rester ou retourner chez leurs parents, afin qu'en famille on supporte mieux la misère en s'entraidant. Empêchés de fonder des couples, des familles et de faire des enfants. Ce qui, conjointement avec l'exil massif, est en train de générer le pire chaos démographique de l'histoire du Portugal.
Et qui aura des conséquences catastrophiques pour l'avenir d'un pays qui n'en est plus un.
- Dans la rue, on croise des gens à l'apparence normale. On ignore qu'ils ne mangent qu'un repas par jour. La fierté latine les conduit à sauvegarder les apparebnces jusqu'au bout. Jusqu'à la limite du désespoir. Jusqu'à comme beaucoup d'autres, ils finissent SDF dans les rues, chose qui même sous la dictature salazariste, a toujours été inconcevable au Portugal
- Entre les familles expulsées de leurs maisons faute de pouvoir payer les loyers, le taux ahurissant de chômage, avec 30% des chômeurs ne percevant strictement plus aucune allocation d'aucune sorte, 49% (QUARANTE NEUF) de la population qui ne tient que grâce au complément de subventions diverses, en plus du salaire de misère (Smic à 485E bruts desquels on déduit 11% de charges salariales et la même chose en impôts); entre l'exil massif, l'industrie qui capote du fait de l'ouverture des frontières, et entre la destruction pure et simple de tous les axes centraux de la société...
... le Portugal est un pays en proie aux flammes eurocrates. Une fabuleuse nation qui a tout pour être cohérente et heureuse, mais qui s'éteint dans un silence assourdissant.
Seules les larmes, elles aussi versées en silence par une population trop digne, peuvent encore contribuer à contrer mentalement cet énorme brasier engendré par la mafia eurocrate assassine.
On parle là de terreur et de terrorisme le plus pur. D'indécence mentale et humaine. D'hérésie sociale et sociétale.
Le 25 Avril, avec la révolution des oeillets n'a servi à rien. Car d'un fascisme national, le Portugal est allé s'enterrer dans une dictature supranationale !
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Le Portugal nous montre ce que va être NOTRE AVENIR
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