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une monstruosité : le grand marché transatlantique !

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3 22 /01 /Jan /2014 07:00
Ils sont en train de nous cocufier avec une monstruosité, le grand marché transatlantique !

marche-transatlantique.jpgIls préparent que l'on appelle par euphémisme un projet de traité commercial entre l'Europe et les Etats-Unis et qui est fait un projet d'union politique ; autrement dit,l'UE est en train de transférer les pouvoirs politiques supra-nationaux qu'elle a réussi à obtenir grâce à nos dirigeants pourris jusqu'à la moelle à des entreprises privées. Purement et simplement. En effet, les choses sont simples : Les accords transatlantiques devraient induire « une harmonisation progressive des réglementations et de la reconnaissance mutuelle des règles et normes en vigueur ».Ces négociations portent en effet moins sur les droits de douanes (déjà faibles entre les États-Unis et l'Europe - leur annulation étant plutôt à l'avantage de l'Europe) que sur les normes, réglementations et autres « barrières non tarifaires » au commerce transatlantique. Ces normes et réglementations qui seront remises en cause comprennent (liste non exhaustive) le salaire minimum, les normes sanitaires pour l'alimentation et la sécurité, le respect de l'environnement, le contrôle de l'impact carbone, la réglementation de la finance, le soutien des états pour l'accès à tous à l'éducation et à la santé 16.Source wikipedia. Bref, tout ce qui sera un obstacle à la concurrence car faisant augmenter les prix devra disparaître, smic, sécurité sociale, éducation au-delà de 14 ans, retraites, vacances, durée hebdomadaire du travail...

Ce n'est pas une révolution, c'est un séisme, c'est le retour aux années noires du XIXème siècle. Je ne sais quel Zola immortalisera pour une postérité vouée à devenir esclave ce qui attend nos enfants et petits-enfants, mais une chose est sûre, c'est que tous ceux qui ont dirigé la France depuis 1990 et qui ont mis la main au TCE et traité de Lisbonne sont des criminels qui devront rendre compte de leurs actes.

Bien entendu on ne demandera pas leur avis aux peuples, ni aux parlements nationaux, ni au Parlement européen ; le Conseil européen et la commission européenne vont concocter cela et nous mettre devant le fait accompli...

Pour en savoir plus, écouter François Asselineau ici et lire sur Agoravox : les cocus de la démocratie.

Ce qui se passe est effectivement gravissime, c'est la disparition sans espoir de retour du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, au nom de la concurrence et de la rentabilité. Le secteur privé va gouverner les peuples...



Sauf si les Français se mettaient à voter contre l'UMPS et leurs satellites. Sauf si les Français boycottaient les medias et se mettaient à protester, à descendre dans la rue pour dire non. Il va bien falloir que le sujet arrive dans les medias.

il est donc d'autant plus urgent de rejoindre l'UPR et de voter pour eux aux prochaines élections européenne, car c'est le seul parti qui connaît la seule et unique solution, préalable à toute autre, pour en sortir


les "tueurs du Brabant" affaire non résolue, et pour cause !

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ceux qui ont lu des articles sur les "réseaux Gladio" savent à quoi s'en tenir

Alain Soral

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la mathématisation de l'économie est une escroquerie, pour en cacher la dimension de lutte de classes

alain soral suite du précédent

le problème actuel

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1/2/2014 Le problème de la France, le problème des élections françaises, c'est qu'il n'y a plus de parti de gauche, les exploiteurs dans leur ardent désir de faire en sorte que les institutions démocratiques http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2013/04/15/la-democratie-ils-en-veulent-bien-mais-a-condition-que-le-pe.html ne risquent pas de nuire à leurs interêts et à leur avidité, on réussi a tous les éliminer sournoisement, par l'intérieur. Les seuls partis de gauche qui restent, genre M'Pep, ou PRCF, restent marginaux et sans crédit auprès des électeurs.
On a réussi (car c'est bel et bien le résultat d'un plan intentionnel) à enfermer le mécontentement dans un parti cul-de-sac qui du fait de ses relents douteux est et restera honni par 80% des français et donc n'arrivera jamais au pouvoir, et n'a aucune chance d'appliquer un jour son programme http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-2012/candidats/marine-le-pen-fait-les-yeux-doux-aux-fonctionnaires-30-10-2011-1693718.php, que de toutes façons ils se dépêcheront d'oublier, car ils sont eux aussi des manipulateurs.
Le seul espoir, car on est tombé si bas qu'il ne s'agit même plus de rêver à faire des réformes de gauche mais à sauver les gens des ignobles réformes de droite, et libérer le pays et le sortir des fers dans lesquels on l'a mis, c'est l'UPR de François Asselineau. S'il était élu président il pourrait être le nouveau De Gaulle, en mieux ! sans ses « ombres », et le Chavez français en même temps (en espérant qu'on ne lui colle pas un cancer).

radio -soleil

un débat très interessant à Athènes sur l'Europe

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je vous recommande en particulier la réponse de F Asselineau à 35-40 minutes

un père une mère un droit élèmentaire


vive la liberté !

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le fait de profiter de saposition de force pour faire peur pour persécuter et déshumaniser plus faible que soi est un crime immonde ! condamné par la morale déjà dans les inscriptions de l'Egypte antique; honte aux p'tit caïds de l'Educ Nat et toutes ces "instances" qui ont la même mentalité qu'autrefois ceux de l'Union Soviétique. Ces procédés ont été de tous temps "vomis" evec dégoût par toutes les personnes dignes. Vive la Résistance !

à bas l'amerloquisation !

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à bas l'anglicisation totale systématique et obsessionnelle d'Over-blog !
y-en a marre de l'amerloquisation de plus en plus envahissante et obsédante

En fait tout ça fait partie d'une entreprise générale et concertée....

l'Union Européenne a trahit les peuples

8 camions de police contre une femme - et toujours une mer de sophismes répressifs et totalitaires, comme dans n'importe quelle dictature

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nous sommes en train de vivre des moments historiques

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Quelque part, il rend minables les tenants du pouvoir, et ils ne l’ont pas volé ! D’un seul coup, c'est eux les nauséabonds

si on peut faire ça avec lui on peut le faire avec n'importe qui

on est en train de canibaliser les bases de l'économie réelle française, pour financer un système dont la rentabilité est devenue négative


URGENCE ! il faut lancer une pétition

l'ignoble fichier ADN

qui sont les Femens ? résultats de l'enquête

ces horribles traités

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Ces merveilleux traités qui transfèrent le pouvoir des Etats aux multinationales

* France * Politique * UPR

Alors que la Commission européenne poursuit en secret la négociation du traité transatlantique, dit Tafta, avec les Etats-Unis, il est utile d’examiner ce à quoi a servi le traité qui lui sert de modèle : l’Alena, entre les Etats-Unis, le Canada, et le Mexique. Le bilan est simple : il donne des pouvoirs exorbitants aux grandes entreprises.

Vingt ans après son entrée en vigueur, beaucoup a déjà été écrit sur les effets désastreux pour les travailleurs et les agriculteurs du Mexique, des États-Unis et du Canada, de l’accord de libre échange nord américain (Alena, en anglais NAFTA).

Mais l’Alena a également réécrit les règles de l’investissement international, et cela pourrait se révéler son legs le plus insidieux.

Les règles d’investissement de l’Alena étaient ostensiblement conçues pour donner aux investisseurs américains ou canadiens un moyen de régler les conflits avec le gouvernement du Mexique : les auteurs du pacte faisaient valoir que le système juridique mexicain était inefficace et corrompu.

La série de procès qui ont ensuite été intentés contre le Mexique et le Canada, en s’appuyant sur l’Alena, montre que le processus de règlement des différends relatifs aux investissements prévu par cet accord est un outil aux services des grandes entreprises pour faire chanter les États et empêcher des politiques sociales et respectueuses de l’environnement.

Une modification des règles au profit des multinationales

Le chapitre 11 de l’Alena a non seulement déréglementé la circulation des capitaux et facilité la délocalisation de la production à travers les frontières, mais il a également inclus un système de « règlement des différends » entre investisseur privé et État (Investor-State Dispute Settlement, ISDS, AGCS en français).

Cet arbitrage commercial international permet aux multinationales de contourner les tribunaux classiques respectueux de la souveraineté des États et de leurs droits nationaux, notamment sur la protection de l’environnement. Ce système permet aux multinationales d’appliquer directement des « protections » en vertu du contrat, en fait des normes minimales de traitement et l’interdiction de l’expropriation « indirecte » des investissements existants ou futurs.

Les recours selon l’AGCS sont des plaintes d’investisseurs nord-américains d’un pays contre une décision, la politique, le droit, la réglementation qui selon l’investisseur aurait violé les dispositions de l’Alena en matière de protection des investissements.

Par exemple, si un gouvernement met en œuvre une réglementation du travail ou de l’environnement qu’une multinationale n’aime pas, même si le règlement est légal et appliqué à toutes les entreprises qui travaillent dans le pays, cette société peut néanmoins poursuivre en dommages-intérêts ce pays à la Banque mondiale (Centre international de la Banque mondiale pour le règlement des différends relatifs aux investissements, dit Cirdi ou, en anglais, Icsid).

Le Canada et le Mexique ont été jusqu’à présent les plus grands perdants dans ce schéma. (Voir les poursuites contre le Canada.) Le gouvernement américain a fait face lui-même à plusieurs poursuites selon le chapitre 11, mais n’a jamais perdu un procès. Les trois pays ont dû payer des sommes énormes en frais juridiques, ou en honoraires versés à des tribunaux d’arbitrage.

Dans tous les cas, les perdants sont les citoyens ordinaires, parce que l’argent pour apaiser les sociétés et payer ces dépenses provient du trésor public. Et désormais les décideurs politiques devront y réfléchir à deux fois avant de passer une loi pour protéger le public contre les excès de l’entreprise.

Un modèle mondial paralysant

Le chapitre 11 de l’Alena a servi de modèle à plus de 3000 traités bilatéraux d’investissement qui sont en vigueur aujourd’hui. Le nombre de litiges d’investisseurs contre des Etats est en plein essor. 500 litiges sociaux contre les décisions de gouvernements sont en cours et les sociétés découvrent constamment de nouveaux moyens d’utiliser l’AGCS pour extraire d’énormes sommes des trésors publics sans même avoir à faire d’investissement tangible.

Ces règles ont un effet paralysant sur les gouvernements. La simple menace d’un procès d’investissement peut suffire à décourager un état de passer une nouvelle loi d’intérêt public qui pourrait interférer avec les bénéfices attendus d’une société.

L’effet sur le développement est également prononcé, puisque le principe du « traitement national » oblige les Etats à traiter de la même façon toutes les entreprises sur son territoire : cela contraint les gouvernements à aider les entreprises multinationales, alors qu’ils pourraient préférer ne soutenir que les petites et moyennes entreprises locales.

Ses promoteurs appellent cela « niveler le terrain de jeu », mais la réalité est que l’Alena a créé un ensemble de règles qui favorisent les investisseurs multinationaux sans rien leur demander en retour. On a interdit par exemple la possibilité d’exiger d’une entreprise multinationale qu’elle s’engage à fonctionner dans le pays pendant une certaine période de temps, ou se fournisse localement pour une partie de ses besoins.

À bien des égards, l’Alena est plus une prise de pouvoir des entreprises qu’un accord commercial, et ce n’est nulle part plus évident que dans son chapitre sur l’investissement. L’Alena et autres traités semblables accordent aux sociétés transnationales une totale liberté de mouvement des capitaux, de biens et de services, associée à la capacité de poursuivre devant des tribunaux secrets les pays où les gouvernements tentent de leur faire obstacle.

L’échec de ce modèle monolithique est occulté par la promotion qu’en font les trois pays de l’Alena, mais cet échec est de plus en plus évident pour le nombre croissant de personnes qui contestent l’extension des règles commerciales des entreprises grâce à des accords de libre-échange et d’investissement transpacifiques et transatlantiques.

Le résultat de cette nouvelle lutte est incertaine. Avec courage et persévérance, nous pouvons un jour être en mesure de faire reculer l’héritage de l’Alena et d’introduire de nouveaux modes de négociation et d’investissement qui aient pour objectif premier la santé et du bien-être des gens sur notre planète.

Jusque-là, nous sommes coincés avec un modèle qui met les entreprises en premier et donne aux tribunaux secrets le dernier mot.
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Source : Foreign Policy in Focus, traduction par Elisabeth Schneiter pour Reporterre./ Relayé par metatv.org

Le DG de Tata Motors se ''suicide'' juste avant la sortie de sa voiture à air comprimé

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