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premières élections "européennes" en Croatie : 79,3% d'abstentions

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déjà le réferendum d'adhésion à cette Union "Européenne" n'avait mobilisé que 44% des citoyens, et les "OUI" ne représentait que 29% des inscrits.

n'importe quel vrai démocrate aurait aussitôt récusé un tel scrutin; eh bien non! sans vergogne "ils" ont pris ça pour une approbation de bon aloi.

 

 

  • L’Union Populaire Républicaine relève avec intérêt que c’est donc avec la défiance de 4 électeurs sur 5 que la Croatie va devenir officiellement , le 1er juillet 2013, le 28ème État membre de l’Union européenne.

 
Face au désastre économique, social et moral tous azimuts qu'elle a provoqué et qui ne cesse de s'aggraver, la prétendue "construction européenne" ne trouve donc comme seule réponse que d'accélérer encore sa fuite en avant, au mépris de la volonté profonde des peuples d'Europe.

l'abstention record en Croatie est un nouveau signe de l'irrésistible processus de nécrose qui mine la prison des peuples bruxelloise.

 

 Nous nous trouvons aujourd'hui en Europe,dans la même situation que les les Etats membres de l'URSS en 1990. Le tout maintenant est de se préparer,car c'est à la vitesse de la chute libre que cet édifice s'écroulera dans les années à venir.

mais là c'est le pompon ! en fait un résultat verdict qui en dit long  sur l'idéologie du Libéral-Fascisme actuel

 pour le "Libéral-Fascisme", le régime du NWO, ce n'est pas une débacle, c'est CE QU'IL SOUHAITENT, le suffrage universel c'est dangereux pour ces oligarques ! Aussi quand le peuple découragé se met à ne plus voter, c'est tout bon ! (comme aux Etats-Unis par exemple) et encore mieux comme aux élections européennes des pays de l'Est, qui sont leur MODELE, le "traitement de choc" qui amène le libéralisme sauvage et la passivité du peuple, rendu incapable de continuer à penser en termes de conflits de classe. Si seuls les pro-européeistes votent et que tous les autres restent chez eux, c'est ce qu'ils peuvent souhaiter de mieux. Après ils n'auront plus qu'à injecter une puce RFID à tous le monde pour mieux les "contrôler".

 

« Le Portugal ne pourra jamais payer ses dettes, au lieu de cela il s’appauvrit. Si vous ne pouvez pas payer, la seule solution, c’est de ne pas payer. Quand l’Argentine était en crise, elle n’a plus payé. Est-ce que quelque chose s’est produit ? Non, rien n’est arrivé », a déclaré Mario Soares, l’ex-Premier ministre socialiste portugais qui a dirigé les deux premiers gouvernements à la suite de la dictature de Salazar.

Estimant que le gouvernement portugais était devenu le serviteur servile de la Chancelière allemande Angela Merkel, il a exhorté les forces politiques du pays à s’unir pour « faire chuter le gouvernement » et à faire cesser la politique d’austérité imposée par la troïka composée du Fonds Monétaire International (FMI), de la Commission Européenne, et de la Banque Centrale Européenne (BCE).

« Dans leur avidité à obéir à Senhora Merkel, ils ont tout vendu et ruiné ce pays. En deux ans, ce gouvernement a détruit le Portugal », fulmine-t-il.

Ses déclarations ont été formulées alors que la cour constitutionnelle portugaise a jugé la semaine dernière que la suppression du 14ème mois des salaires des fonctionnaires et des pensionnés, proposée par l’actuel Premier ministre Pedro Passos Coelho, était illégale.

Par ailleurs, une fuite dans un rapport de la Troïka a indiqué que le pays menace d’entrer dans une spirale de la dette, et qu’il pourrait nécessiter à terme un second plan de sauvetage.

En effet, selon ce document, les besoins de financement du Portugal pourraient atteindre 15 milliards d’euros en 2015, c’est-à-dire plus que les montants dont il avait besoin avant la crise, et alors même que sa cote de crédit s’est dégradée. Précédemment, il ne nécessitait que 10 à 12 milliards d’euros annuels.

Cependant, vendredi, les ministres de l’Eurogroupe ont donné leur accord pour une extension de 7 ans des prêts que le Portugal a reçus dans le cadre de son plan de sauvetage.

Pour Dario Perkins de Lombard Street Research, un défaut du Portugal pourrait exclure le pays de la zone euro.

L’Allemagne pourrait s’inquiéter que d’autres pays adoptent la même attitude et elle pourrait choisir de se montrer inflexible. Il pense que les pays de la périphérie redoutent d’être exclus de la zone euro, car ils ressentent que leur économie pourrait être anéantie.

Mais il prédit qu’à la longue, les citoyens de ces pays voteront de plus en plus pour des politiciens opposés aux politiques d’austérité, à l’image de ce qui s’est passé en Italie, et que l’UE perdra son emprise.

 

 


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